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Le cold plunge ou bain glacé, vous connaissez, on vous en a déjà parlé chez Magma : récupération physique, réduction du stress, ses bienfaits ne sont plus à prouver.

Mais aujourd’hui, le bain s’inscrit dans un contexte social qui va au-delà du cold plunge. Inspirée des bathhouses antiques, où l’on venait autant pour se détendre que pour échanger, la tradition revient en force. Modernisés, ces espaces ne se limitent plus à l’immersion froide : ils intègrent saunas immersifs, bains chauds, méditations guidées et zones de convivialité.

Le marché des compléments alimentaires à base d’organes connaît une croissance explosive, portée par la convergence de deux tendances : le retour aux remèdes ancestraux via l’utilisation intégrale de l’animal, et la recherche de solutions naturelles pour le bien-être global. La graisse animale présente plusieurs bienfaits : renforcement immunitaire grâce aux nutriments essentiels (vitamines B12, 9, D, fer hème et minéraux), amélioration des performances physiques via la coenzyme Q10, et propriétés anti-âge du collagène bovin.

Des récentes levées de fonds dans l’hôtellerie font penser que le secteur rajeunit et s’équipe en tech : la boîte d’analytics B2B Lighthouse (UK) vient de lever $370M, pour une valo à $1Md, tandis qu’Hostaway (US), un SaaS pour le management des propriétés, a levé $365M (valo $925M). Safara (US), une plateforme de réservations avec une fonction cash-back a levé $14M et a acquis son compétiteur Skipper.

Les chaises spécialement conçues pour les personnes atteintes de trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) connaissent un succès croissant. Ces sièges sont adaptés aux besoins spécifiques liés à l’hyperactivité et à l’attention et offrent une solution pratique pour améliorer la concentration et canaliser l’énergie. Elles combinent ergonomie et caractéristiques favorisant le mouvement, comme des bases oscillantes, des surfaces dynamiques ou une nécessité d’assise attentive.

La crise de la solitude est devenue une préoccupation majeure à l’échelle mondiale. Selon une enquête menée par Meta et Gallup, près d’un quart de la population mondiale se déclare très ou assez seule. Ce phénomène, amplifié par l’isolement dans les grandes villes et la digitalisation croissante des relations sociales, est particulièrement remarqué chez les jeunes générations.

Cela fait maintenant plus de 30 ans que l’on entend parler d’un potentiel super ordinateur quantique. Nous avions même consacré un sujet à la technologie en 2020…

Mais jusqu’à présent, ces systèmes généraient trop d’instabilité, car plus on utilise de qubits (la puissance de calcul du quantique), plus le risque d’erreurs augmente.

La semaine dernière, Google a changé la donne avec sa nouvelle puce quantique.

En 2013, Jay Baer a marqué les esprits avec son concept de Brand Youtility. Une idée simple mais révolutionnaire pour l’époque : les marques ne doivent plus se contenter de vendre, elles doivent être utiles.

Le 6 janvier, on n’y coupe pas. Donald Trump est de retour dans le bureau ovale.

Et on va en ressentir l’impact. Même quand on n’est pas résident des États-Unis. Même quand on ne fait pas d’affaires avec des entreprises américaines.
Le président élu annonce la mise en place de nouveaux droits de douane entre le pays et le Canada (25%), le Mexique (idem) et la Chine (10% supplémentaires sur les tarifs douaniers en place). Les marques de mode américaines se préparent en augmentant leurs prix.

Alors que l’on entend partout que l’IA générative va bouleverser le monde, il est peut-être temps de prendre du recul. Car derrière l’enthousiasme et les budgets colossaux alloués (près de $600Mds annuels), plusieurs défis de taille pourraient limiter sa trajectoire si ces problématiques ne sont pas résolues.

Le monde du travail s’est historiquement structuré autour des hard skills, les compétences techniques propres à un métier, et des soft skills, ces aptitudes interpersonnelles qui facilitent la collaboration et la communication. Avec l’automatisation croissante, on entend souvent que les soft skills deviendront déterminants : ce que les machines ne maîtrisent pas encore, c’est l’humain. Mais une nouvelle catégorie émerge : les out skills.